La Revue de la presse catholique du Dimanche 22 Mars 2015

La Revue de la presse catholique, Dimanche 22 Mars 2015

Encore une fois, c’est par des nouvelles des médias, rapportées par les médias catholiques, que s’ouvrira cette revue de la presse catholique africaine. On lit en effet sur SENEGLISE, le portail de l’Archidiocèse de Dakar, au Sénégal que « sur le site internet de la Conférence épiscopale, les Évêques de Côte d'Ivoire dénoncent des mails et des SMS qui proviendraient de la Vierge Marie, selon certaines personnes « se réclamant de l’Eglise Catholique ».

Les Evêques dénoncent publiquement une véritable arnaque religieuse et rejettent fermement « ces pratiques contraires à la doctrine de la sainte Église Catholique » tout en précisant clairement que «l’Église Catholique en Côte d'Ivoire ne se reconnait pas dans la diffusion de ces messages dont l'authenticité n'est pas prouvée et approuvée par elle ».

Toujours sur SENEGLISE, on apprend que le 24è week-end des femmes du Sénégal se tiendra pendant trois jours, du 17 au 19 avril prochains à Richard-Toll, dans le diocèse de Saint Louis. La communauté organisatrice, « JeunESpérance invite toutes les femmes et jeunes filles à cette grande rencontre placée sous le thème : « Je suis le Seigneur ».

Dans la SEMAINE AFRICAINE, Joseph Boudzoumou reprécise que le Temps de Carême est temps de pardon et de réconciliation ; que la spiritualité du Carême est dans le fait de le vivre. « Le jeûne, l’aumône et la prière sont, pour les chrétiens, des exercices de la liberté de conscience. Dans ce sens, personne n’est contraint à les pratiquer. Mais, tout en respectant la liberté individuelle de chacun, l’Église espère que faire le choix de sa proposition est une voie de salut pour quiconque choisit cette option », rappelle le journal de l’Eglise qui paraît à Brazzaville, au Congo.

Enfin, à Madagascar, le grand quotidien de l’Eglise, LA CROIX DE MADAGASCAR, doute que le Programme national de développement (PND) soutenu par le gouvernement puisse aboutir à de bons résultats : c’est « un échec programmé ».

Pourquoi ? Parce que « pour devenir un pays émergent il faut des années de préparation. Madagasikara mettra moins de temps pour ce faire si les dirigeants acceptent les idées avancées » par les partenaires locaux du développement, soutient le journal.