L’Eglise a le devoir de communiquer sur le fait que la famille est une bonne nouvelle.
C’est ce qu’a affirmé Mgr Paglia à l’ouverture de l’Assemblée plénière du Conseil
pontifical pour la famille. Celle-ci doit reprendre sa place : être au centre de l’intérêt
des politiques, du monde de la culture et de l’économie. Car aujourd’hui regrette
le chef de dicastère « la famille vit une situation paradoxale ».D’un côté, on lui
attribue une grande valeur et de l’autre on assiste à une « désintégration anthropologique
» qui conduit à sa destruction. L’individualisation de la société fait qu’on préfère
la cohabitation au mariage. Mais malgré les attaques, la famille reste « indestructible
», dit-il, car elle s’inscrit dans les besoins de la nature humaine.