Perquisitions, arrestations, détentions prolongées, long procès. Tous les moyens sont
bons pour faire taire les électeurs qui ne voteraient pas pour Robert Mugabe. A quelques
jours des élections générales au Zimbabwe, Amnesty International s’est inquiété du
climat qui avait régné avant le scrutin : un climat de restrictions politiques.
Pour
Vincent Darracq, analyste Afrique pour le groupe International SOS et Control risks,
ces méthodes ne sont pas nouvelles pour le parti au pouvoir :