La situation en Centrafrique reste préoccupante, un mois après la prise de pouvoir
de la coalition rebelle Seleka. Exactions armées, pillages et autres réquisitions
forcées se poursuivent à Bangui et à l’intérieur du pays. La cohabitation se fait
chaque jour plus difficile entre civils et combattants.
Tels sont les témoignages
qui parviennent aux citoyens centrafricains vivant à Rome. Certains parmi eux, une
quinzaine de prêtres, ainsi que des laïcs, étudiants ou travailleurs, ont ainsi mis
en place un collectif de solidarité. Leur objectif ? Sensibiliser le Saint-Siège et
l’Union européenne aux souffrances d’une population oubliée du reste du monde.
Ecoutez
le coordinateur de ce groupe, Don Gabriel Maizouka, interrogé par Manuella Affejee
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