Il y a un an, le 13 janvier 2012, le navire de croisière Costa Concordia s’échouait
sur l’île du Giglio, au large de la Toscane, provoquant la mort de 32 personnes. Un
an plus tard, l’épave du navire n’a pas bougé, toujours en équilibre sur un éperon
rocheux, au grand dam de la population locale. Après plusieurs reports et retards,
le chef de la protection civile italienne Franco Gabrielli a promis que le navire
serait retiré au plus tard en septembre prochain. Un optimisme que ne partage pas
Jacky Bonnemains, porte-parole de l’ONG environnementale Robin des Bois. Il vient
de publier une étude accablante sur la sécurité maritime. Nous l'écoutons