Des évêques responsables de la pastorale de la santé venus de plusieurs pays se sont
retrouvés mercredi au Vatican. Au cœur de leurs préoccupations, la théorie du genre,
le « Gender » en anglais. Cette théorie se répand : elle entre dans les manuels scolaires
en occident, elle inspire des décisions politiques et elle colonise les pays les plus
pauvres par le biais des institutions internationales. Pour l’Église catholique, il
y a là un problème de morale mais aussi de santé publique. Pour nous en parler,
un des principaux intervenants au colloque : Mgr Tony Anatrella, prêtre et psychanalyste.
Il a récemment été chargé de présenter un manuel du Conseil pontifical pour la famille
« le gender, la controverse », publié chez Téqui Propos recueillis
par Romilda Ferrauto