L’Union Européenne se dote d’un concept avancé de la vie humaine à son stade initial,
l’embryon. L’arrêt de la Cour européenne de Justice a décidé, ce lundi 18 octobre
dans un jugement préliminaire, que les procédés de recherche destructifs d’embryons
humains n’étaient pas brevetables. Une décision saluée par la COMECE. Dans un communiqué,
la Commission des épiscopats de la Communauté européenne évoque une étape majeure
dans la protection de la vie humaine dans la législation de l’Union Européenne. La
COMECE précise également que la CEJ a apporté, avec cet arrêt, une définition large
et scientifiquement solide de ce qu’est un embryon humain.Johanna Touzel, porte parole
de la COMECE, nous explique en quoi cet arrêt est une bonne nouvelle. Des propos recueillis
par Marie-Leila Coussa