Silvio Berlusconi vient de subir un véritable revers lors des élections municipales
de dimanche et lundi. La coalition du Cavaliere a perdu la mairie de Milan mais n’a
pas non plus réussi à s’imposer à Naples. Une victoire pour l’opposition de centre-gauche
qui a appelé le président du Conseil à démissionner. Silvio Berlusconi estime lui
qu’il n’est pas encore mort politiquement. Comment expliquer cette défaite électorale
? L’analyse de Jean-Louis Briquet spécialiste de l’Italie au CERI-Sciences-Po. Un
dossier signé Olivier Bonnel