La paix est possible en Terre Sainte

La Terre Sainte a besoin d’espérer la paix : C’est le cardinal Leonardo Sandri qui le souligne dans une lettre pour la quête du Vendredi Saint. Le préfet de la Congrégation pour les Églises orientales exhorte tous les fidèles à s’unir au Pape pour encourager, spirituellement et concrètement, les chrétiens du Moyen-Orient qui font l’expérience du martyre et de l’instabilité, à Jérusalem, en Israël, en Palestine, en Jordanie. Le cardinal Sandri exprime sa souffrance face l’augmentation des violences antichrétiennes. Le signal le plus préoccupant est, selon lui, la poursuite de l’exode, une tendance douloureuse qui appauvrit toute la région des forces vitales que constituent les jeunes générations. Pour le cardinal préfet on ne peut se résigner à l’absence de paix : la paix est possible – écrit-il – la paix est urgente. La Congrégation pour les Églises orientales se fait l’écho des besoins des communautés chrétiennes du Moyen Orient, dans le domaine pastoral, éducatif et caritatif. Elle plaide en faveur des droits des individus et des communautés à commencer par l’exercice personnel et public de la liberté religieuse.