La contestation passe désormais par les réseaux sociaux
Difficile d’avoir des informations fiables sur la vague actuelle de contestation dans
les pays arabes car les autorités s'efforcent de mettre l’information au pas. La révolution
se fait sur Facebook ou Twitter, même si les autorités tentent de garder le contrôle.
Les appels à manifester sont relayés sur les réseaux sociaux. Selon le site spécialisé
Socialbakers, Facebook compterait près de 300 000 internautes libyens. Et la révolte
est devenue transnationale. Gilles Dorsay, est coordinateur de la recherche à
Reporters Sans Frontières. Il est interrogé par Marie-Leïla Coussa