Les présidents français et chinois se rencontrent à Paris.
Parleront-ils des droits de l’homme et du Tibet ? C’est un peu la question que tout
le monde se pose en marge de la rencontre entre Nicolas Sarkozy et le président chinois
Hu Jin Tao. Les ONG estiment que la politique de la France manque de cohérence : après
avoir fait des déclarations critiques en 2008, le président français a depuis évité
de froisser Pékin. Pourtant la situation sur place ne s’est pas arrangée pour les
tibétains, comme l’explique Jean Paul Ribes, président du Comité de soutien au peuple
tibétain. Propos recueillis
par Mathilde Auvillain.