« Fathi Baladi est toujours dans mon esprit », c’est ce qu’écrivait Jean-Paul II à
la famille de ce jeune libanais tué à l’âge de 19 ans, en 1980. Ce jeune homme a vécu
de façon ordinaire l’extraordinaire de la foi chrétienne dans un pays qu’il n’a connu
qu’en temps de guerre : le Liban. Sa courte vie ne manifeste rien de surnaturel et
pourtant depuis sa mort, l’intercession de ce jeune libanais console ceux qui le prient.