Un discours de politique étrangère israélienne qui laisse perplexe
Un pas en avant, un pas en arrière : telles sont les impressions contradictoires qu’ont
laissées le premier discours de politique étrangère de Benyamin Netanyahou. Le premier
ministre israélien a créé la surprise en acceptant l’idée d’un État palestinien, mais
la série de conditions dont il a assorti une possible reprise du dialogue laissent
perplexe de l’autre côté du mur. Écoutez Claudette Habash, secrétaire générale de
Caritas Jérusalem. Propos recueillis
par Mathilde Auvillain.