(vendredi 6 octobre 2006) « Faites des films, pas la guerre »: c’est le slogan du
7ème festival international du cinéma de Beyrouth. Il a été inauguré jeudi
et relance les activités culturelles dans la capitale libanaise après la guerre de
l’été dernier. Le court documentaire « Beyrouth ne meurt pas » raconte les destructions
infligées à la banlieue sud de la ville par les bombardements israéliens. Mais dans
l’ensemble, le festival privilégie les comédies. Pour la directrice du festival, Colette
Naufal, les Libanais en avaient bien besoin Colette Naufal
directrice du festival de Beyrouth interrogée par Hélène Destombes