(RV-jeudi 04 mai 2006) Est-ce la fin de l’embellie entre le Vatican et la Chine ?
Pour la seconde fois en quatre jours, Pékin a ordonné mercredi un éveque sans l’approbation
du Saint Siège. Le gouvernement de Pékin a fait savoir dans la presse qu’il refusait
toute ingérence du Vatican. Un coup dur pour le processus de normalisation auquel
Benoit XVI semble attacher la plus grande importance. L’analyse de Régis Anouilh,
rédacteur en chef d’Eglises d’Asie