(RV- vendredi 03 mars 2006) Au Liban, les leaders chrétiens et musulmans, anti et
prosyriens ont entamer hier un dialogue national avec l’ouverture d’une séance parlementaire
historique. Objectif : tenter de sortir le pays de la crise politique. Selon le président
du Parlement libanais, Nabih Berri, les participants ont accepté hier la constitution
d'un tribunal international sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre, Rafic Hariri.
La correspondance d’Isabelle Dellerba