(RV- jeudi 19 janvier 2006) La capitale ivoirienne semble revenir ce matin à un calme
relatif, après la vague de violences qui a secoué Abidjan ces derniers jours. La recommandation,
dimanche, du Groupe de travail international chargé de suivre le processus de paix,
de ne pas prolonger le mandat des députés ivoiriens, a déclenché la colère des Jeunes
Patriotes, fidèles du président Laurent Gbagbo. Mais ces groupes n’attendaient qu’un
prétexte pour descendre dans la rue, explique le père Augustin Obrou, porte-parole
de l’archevêché d’Abidjan