(RV-samedi 14 janvier 2006) C’est l’inquiétude après la découverte par un laboratoire
britannique d’une mutation du virus H5N1 sur une victime turque. L’OMS reste prudente.
Il est trop tôt pour affirmer que le virus soit devenu plus dangereux pour l’homme,
explique l’organisation mondiale. La FAO, elle aussi, se montre prudente. Ecouter
Joseph Domenech, responsable du service vétérinaire à l’organisation de l’ONU pour
l’Agriculture et l’Alimentation