La liberté de presse assassinée au Liban avec le meurtre de Samir Kassir.
Des milliers de personnes ont participé jeudi soit à une veillée aux chandelles au
cœur de Beyrouth, avant de se rendre sur le lieu de l'assassinat de Samir Kassir.
La tristesse et la colère sont grandes au Liban après l’attentat à la voiture piégée
qui a coûté la vie à ce journaliste franco-libanais connu pour ses positions anti-syriennes
et son engagement pour la démocratie. Tous les regards se portent vers la Syrie. Jeudi
soir, l’opposition demandait la démission du président Emile Lahoud. A Beyrouth,
Sibylle Rizk