La gestion de la terre constitue encore une source de discordes sociales au Brésil.
Dans l’Etat de Roraima, au nord, des milliers d’indigènes se voient arracher leurs
terres par de grands propriétaires terriers. Conséquences : misère et pauvreté. Pour
résister à cette invasion, les populations autochtones aidées par les missionnaires
ont fondé le Mouvement « Nos existemos », nous existons. Certains de ses membres
organisent une campagne de sensibilisation. Ils étaient en Italie ces jours-ci. Jean-Baptiste
SOUROU les a rencontrés.