Les Parlements turcs ont voté dimanche après-midi le nouveau code pénal dont l’adoption
était considérée par la commission européenne comme indispensable pour qu’elle puisse
émettre un avis favorable à l’ouverture de négociations d’adhésion de la Turquie à
l’Union européenne. Les députés ont été convoqués vendredi en urgence après que le
Premier ministre eut accepté d'abandonner un article controversé qui criminalisait
l'adultère. La nouvelle mouture ne fait pas mention de l'adultère, mais n'est pas
complètement démocratique pour autant. Olivier Léma