Notre dossier revient sur la révision de la présence militaire américaine à l’étranger.
George Bush a annoncé cette semaine le retrait de 70 000 soldats d’Europe et d’Asie,
la plus forte restructuration depuis la fin de la guerre froide. Parmi les arguments
avancés, la nécessité de s’adapter aux nouvelles menaces comme l’hyper-terrorisme.
Washington évoque de nouveaux partenariats pour mieux protéger la paix. Marine Soreau
a recueilli l'analyse d'Alfredo Valladao, professeur de relations internationales
à à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris. Il explique tout d’abord le contexte
électoral dans lequel s’inscrit cette annonce