En Iran, des dizaines de parlementaires poursuivent à Téhéran le sit-in entamé le
11 janvier dernier. Par ailleurs, une cinquantaine de députés iraniens ont juré jeudi
de ne pas participer aux prochaines élections législatives si le Conseil des Gardiens
de la Constitution ne revient pas sur sa décision d’écarter des milliers de candidatures
réformatrices. Le bras de fer se durcit et l’on se demande comment le pays pourra
sortir de l’impasse. Delphine Minoui