2016-03-26 14:53:00

La revue de la presse catholique d’Afrique, Dimanche 27 Mars 2016


La revue de la presse catholique d’Afrique, Dimanche 27 Mars 2016

Pour la revue de la presse catholique africaine de ce dimanche, nous nous rendrons d’abord au Niger. Serge Xavier Oga écrit sur DIOCESE DE MARADI que les élections présidentielles ont bien eu lieu, mais les problèmes persistent. L’opposition qui avait décidé de boycotter le second tour le 22 mars soutient qu’à compter du 2 avril prochain, le Niger n’aura plus de président. « Aucun artifice juridique ne nous fera reconnaître les faux résultats concoctés d’un scrutin tortueux. Personne ne nous fera accepter une mascarade électorale dans laquelle l’expression de la volonté populaire, la vérité et la justice sont défigurées », déclarent les opposants au président Mahamadou Issoufou. Lequel, nous dit le confrère, « dans sa première déclaration à l’issue de la proclamation des résultats provisoires, appelle au rassemblement et à l'unité nationale ». Il nous restera à suivre l’évolution des choses au Niger.

Plus pastoral, EGLISE CATHOLIQUE RWANDA nous apprend que le Conseil National des OPM a tenu une réunion ordinaire le 1er mars 2016, à l’issue de laquelle il a été décidé que la 53ème journée Mondiale de prière pour les Vocations « sera célébrée au quatrième Dimanche de Pâques, c'est-à-dire le 17 Avril 2016. La réunion a insisté sur la collaboration qui doit caractériser les religieux, religieuses, prêtres et laïcs en vue d’une bonne préparation et célébration de cette journée mondiale dans leurs paroisses ».
Nous avons l’habitude, dans cette revue de presse, de parler des médias en premier ; nous en parlons à la fin dans cette émission. Parce que l’épisode que nous raconte LA CROIX DE MADAGASCAR dans sa dernière édition n’est pas du genre à gonfler d’orgueil les professionnels des média que nous sommes. Avec le titre choc de : « Facebook tue », le quotidien de la Grande Ile relate comment un accident meurtrier de la route a pris des proportions gigantesques, culminant en haine, violences et tribalismes parce que, sur les réseaux sociaux, chacun y est allé de son commentaire assassin et de sa petite photo envenimée. Le journal écrit que, je cite, « La famille des journalistes n’échappe pas à cette volonté de déverser la rancœur sur Fb ». Et le quotidien d’expliquer comment hommes et femmes de presse se livrent à des attaques féroces autour des accréditations aux conférences de presse et du marchandage de certaines couvertures d’événement.

A la semaine prochaine !








All the contents on this site are copyrighted ©.