Revue de la presse catholique d’Afrique. Dimanche 18 mai 2014

La revue de la presse catholique africaine, nous conduit cette semaine au, au Sénégal, au Congo, au Gabon, au Malawi et au Maroc.
Sur le portail de l’Eglise catholique au Sénégal, Senkto, on peut notamment lire que désormais, les fidèles de l’archidiocèse de Dakar, pourront aller rendre visite à Saint Jean Paul II à la paroisse qui porte son nom à Guédiawaye. La délégation polonaise, représentant l’Archevêque de Cracovie et qui a participé à la messe d’action de grâces présidée par le cardinal Sarr le 11mai dernier, a apporté les reliques du saint Pape, offertes par l’Archevêché de Cracovie en Pologne.

Dans ses pages 10 et 11 parues cette semaine, le journal catholique, La semaine Africaine, qui est au Congo-Brazzaville, évoque quant à elle, le message des évêques du Congo réunis pour leur 42^e assemblée plénière. Le thème de la famille y est largement abordé. Le message qui se termine par une prière pour les familles, rappelle que les travaux de la conférence épiscopale congolaise étaient présidées par Mgr Louis Portella Mbuyu, évêque de Kinkala et président de la dite conférence, sur le thème : « la famille congolaise et le dessein de Dieu : Défis, enjeux et perspectives pastorales. »

Le portail de l’Eglise catholique qui est au Gabon, revient pour sa part, sur l’Association des Femmes Catholiques du Gabon qui a célébré de manière particulière la mémoire de Notre Dame de Fatima, le 13 mai dernier. Journée également consacrée à la Journée Mondiale des Organismes Africains des Femmes Chrétiennes.
C’est dans ce cadre, qu’outre la prière et la messe d’action de grâce, l’Association des Femmes Catholiques du Gabon, a notamment assisté à une conférence sur le thème « La vérité dans l'action – Dire la vérité dans l'amour ».

Le portail de la conférence épiscopale du Malawi, ECM, indique que prenant part à la rencontre mondiale de la foi pour l’éducation, la commission pour l’Education de la conférence épiscopale du Malawi, condamne les enlèvements menées par le groupe islamiste Boko Haram contre l’éducation au Nigéria. La commission en profite également pour réaffirmer que l’éducation est un droit fondamentale pour tous. Elle invite aussi à faire cesser les injustices commises à l’endroit des enfants notamment les mariages et les discriminations de toutes sortes que subissent les petites filles.

Une autre condamnation est à lire aussi sur le portail de l’Eglise catholique qui est au Maroc, qui n’hésite pas à souligner la dénonciation apporter par la grande mosquée de Paris qui condamne également avec vigueur la barbarie avec laquelle sont traitées les lycéennes nigérianes et les violences qu’elles subissent de la part de leurs ravisseurs. Les auteurs infâmes de ces actes odieux souligne le communiqué « devraient avoir honte de paraître à la face du monde en prétextant une quelconque justification religieuse. Leur seule religion est le mépris de la dignité humaine. S’il leur reste un minimum d’humanité, nous les appelons instamment à libérer ces jeunes malheureuses victimes pour les rendre à leurs familles. »