Le pape rappelle aux médecins de toujours protéger la vie
Le Pape rencontré vendredi une centaine de médecins de la Fédération Internationale
des Associations des médecins catholiques. A ces médecins, François a indiqué que
nous assistions de nos jours à une situation paradoxe en médecine : d’un coté nous
constatons, et remercions Dieu pour cela, les progrès dans de le domaine de la médecine,
grâce au travail des hommes des sciences qui, avec passion et ne ménageant aucun effort,
se consacrent à la recherche de nouveau traitement. De l’autre coté, cependant, nous
relevons le danger le médecin perde son identité de serviteur de la vie.
Soyez
des témoins et diffuseurs de la culture de la vie
Dans un deuxième temps,
à la suite de cette contradiction, le Pape a souligné le fait que l’Eglise fait appel
à la conscience des professionnels et volontaire de la santé, en particulier les gynécologues
appelés à collaborer à la naissance de nouvelles vies humaines car leur métier est
une vocation singulière et une mission qui nécessite non seulement les études, mais
aussi conscience et humanité. Enfin, François a demandé aux médecins de la Fédération
internationale des Associations des médecins catholiques d’être des témoins et diffuseurs
de la culture de la vie. Votre être catholiques, a souligné le Pape, comporte une
plus grande responsabilité : d’abord envers vous-mêmes, par l’engagement de cohérence
avec la vocation chrétienne, et puis envers la culture contemporaine, pour contribuer
à reconnaitre dans la vie humaine la dimension transcendante, l’empreinte de l’œuvre
créatrice de Dieu, depuis sa conception. C’est cela l’engagement de la nouvelle évangélisation
qui pousse à aller à contre-courant en payant de sa personne.