Les dirigeants politiques et religieux internationaux, lors de l'annonce de la renonciation
de Benoît XVI, ont salué la décision en exprimant parfois leur surprise mais surtout
leur «respect», acceptant les motifs avancés par le Pape, celui de ses forces en raison
de son âge avancé.
L’église orthodoxe russe se projetait déjà dans l’avenir,
affirmant ne pas s’attendre à "des changements radicaux dans la politique du Vatican
ou de son attitude envers les églises orthodoxes".
C’est ce que déclarait
un de ses porte-parole, Dimitri Sizonenko. Cela ne veut pas dire que cette annonce
a laissé indifférent, bien au contraire.
Jean-François Thiry directeur
du Centre culturel Prokrovskye Vorota à Moscou, oeuvrant au rapprochement entre catholiques
et orthodoxes, revient sur les réactions en Russie
(Photo:
Benoît XVI et le métropolite Hilarion, du patriarcat de Moscou, le 29 septembre 2011)