Dossier : nouvelle condamnation, le Parti communiste veut "sauver sa peau"
C’est le scandale qui fait frémir la classe politique chinoise. L’affaire Bo Xilai
n’en finit pas de faire parler d’elle et ce, malgré la rapidité employée par la justice.
Un
mois après la condamnation à mort de Gu Xilai, la femme de l’étoile montante du Parti
communiste chinois qui a reconnu avoir tué un homme d’affaire britannique, c’était
lundi le tour de celui qui l’a dénoncé.
Le bras-droit de son mari, le superflic
Wan Li Jung, a été condamné à 15 ans de prison pour « défection, abus de pouvoir et
corruption ».
Marie Holzman est sinologue, spécialiste de la Chine contemporaine
et présidente de Solidarité Chine. Elle revient sur les raisons de cette condamnation
pour corruption :
Interrogée
par Marie Duhamel, Marie Holzman, présidente de Solidarité chine, était mardi l’invitée
de Radio Vatican.
(Photo : le "superflic" Wan Li Jung, bras-droit de Bo Xilai,
l'ancienne figure montante déchue du Parti communiste chinois, condamné hier à 15
ans de prison)