Ils viennent des Asturies, de Leon ou d’Aragon, des centaines des mineurs convergent
dans la capitale espagnole en ce moment pour une soirée de mobilisation à la lumière
de leur lanterne frontal. En grève depuis 2 mois, ils ont parcouru pour certains jusqu’à
400 km… pour une marche noire de la colère. Hubert Peres nous en explique les fondements.
Il est directeur du centre d’études politiques de l’Europe latine. Des propos recueillis
par Marie Duhamel