Damas sur la défensive, alors qu’a lieu lundi une réunion de l’OTAN, à la demande
de la Turquie. L’Alliance atlantique doit discuter de l’avion turc abattu vendredi
par l’armée syrienne, et qui a provoqué le début d’une mini-crise entre les deux pays
qui pourrait peut-être changer la donne dans ce conflit. La Syrie met en garde
contre une tentative d’ « agression ». Pourtant, cette réunion est avant tout politique
et diplomatique, comme nous l’explique Olivier Kempf, maître de conférences à Sciences
Po Paris et spécialiste de l’OTAN Propos recueillis
par Charlie Vandekerkhove