2011-06-07 18:13:45

Au Brésil, des entreprises partagent une part de leurs bénéfices


Au Brésil, l’économie de communion fêtait ces jours-ci ses 20 ans d’existence. Né d’une idée de Chiara Lubich, la fondatrice du Mouvement des Focolari, ce concept d’économie de communion met en œuvre les ressources matérielles, humaines et spirituelles que chacun possède, riche ou pauvre, pour que personne ne manque du nécessaire : un projet de société qui engage des entreprises des cinq continents, dans un esprit de fraternité universelle où chacun donne et reçoit.
Les chefs d’entreprise qui adhèrent à cette initiative mettent en commun une partie de leurs profits pour répondre aux besoins de personnes en difficulté, et pour permettre le développement d’une ‘culture du don’. Par cohérence avec leur souci d’une économie au service de l’homme, ils s’encouragent à instaurer des rapports respectueux avec leurs employés, leurs clients et leurs concurrents.
A l’occasion de cet anniversaire, 1.700 chefs d’entreprises, ouvriers et chercheurs de 37 pays se sont retrouvés à Sao Paulo. Une petite semence dans une économie globalisée impitoyable
Parmi les intervenants, Geneviève Sanze, professeur à la Faculté d’économie d’Abidjan en Cote d’Ivoire interrogée Carla Cotignoli. RealAudioMP3








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