L’assemblée de l’Eglise patriotique chinoise s’est achevée après trois jours de travaux.
Quelque 300 prélats, prêtres et religieux se sont retrouvés à Pékin. Il s’agissait
de renouveler dans le plus grand secret la hiérarchie de deux structures : le conseil
des évêques et l’association patriotique, étroitement contrôlées par le régime chinois
et non reconnues par le Vatican. Romilda Ferrauto