Le prix du Jury œcuménique a salué le talent d’as de la caméra, comme Wim Wenders,
Alain Cavalier ou Pedro Almodovar. Depuis 1974, ce prix fait partie du cercle très
fermé des récompenses décernées lors du Festival de Cannes. Cette reconnaissance est
accordée à des films dont la qualité artistique se double d’un message directement
religieux ou, en tout cas, universel. C’est ce dont se chargent, depuis plus de 35
ans, le jury composé de catholiques issus de Signis et de protestants d’Interfilm.
Alors que la Croisette se met à l’heure du Festival, Jos Horemans, président de Signis
Europe et responsable de la coordination du jury, nous raconte l’épopée et les morceaux
de bravoure de ce prix pas comme les autres.