Les doutes de Mgr Migliore sur l’issue de la conférence de Copenhague
Jeudi 17 septembre, Benoît XVI appelait, devant les nouveaux ambassadeurs près le
Saint-Siège, à l’adoption d’accords internationaux contraignants à Copenhague. Il
mettait en garde les décideurs politiques contre la tentation de céder aux avantages
du court terme, plutôt que de prendre des engagements à long terme pour le bien des
générations futures. Depuis le début de la conférence de Copenhague, le Pape n’a cessé
de lancer des appels en ce sens. Le Saint-Siège a même envoyé une délégation sur place
présidée par son représentant auprès de l’ONU, Mgr Migliore. Il a confié à Salvatore
Sabatino, journaliste de la rédaction italienne de Radio Vatican, ses doutes à quelques
heures de la clôture de la conférence.