Les Géorgiens sont appelés aux urnes pour élire leur président. Une élection anticipée
qui intervient à peine deux mois après une crise marquée par une dure répression des
manifestants, suivie par l’introduction de l’état d’urgence pendant 9 jours. La Géorgie
espère redorer son image afin d’adhérer à l’Otan. Un référendum est d’ailleurs prévu
sur ce thème.
Silvia Serrano, maître de conférence à l’Université de Clermont
Ferrand et chercheur sur les mondes russe et caucasien à l’Ecole des Hautes Etudes
à Paris revient sur les enjeux de ce double scrutin.