(RV-jeudi 27 juillet 2006) Il n’y a donc pas eu de cessez le feu immédiat comme le
réclamait Benoît XVI et comme l’espéraient surtout les Libanais, les premières victimes
de ce conflit. Nasrallah Sfeir, le chef de l’Eglise maronite du Liban est lui aussi
très déçu. Ecoutez son témoignage