(RV-lundi 10 avril 2006) En France, le sort du CPE se joue lundi matin à l’Elysée.
Le président Chirac et son Premier ministre Dominique de Villepin devraient trancher
sur l’avenir de la loi, après deux mois de crise. Syndicats, organisations étudiantes
et lycéennes ainsi que la gauche demandent toujours son enterrement. A droite plusieurs
voix s’élèvent aussi dans ce sens. A Paris, Antoine Pasquier
Une nouvelle
journée de mobilisation nationale est prévue mardi au cas où la loi serait maintenue.