(RV-vendredi 13 janvier 2006) Le gouvernement iranien affirme qu’il n’est pas inquiet
d'un éventuel envoi de son dossier nucléaire au Conseil de sécurité de l'Onu. C’est
ce qu’a demandé la "troïka européenne", réunie jeudi à Berlin. La France, l’Allemagne,
et la Grande-Bretagne sont soutenues par Washington, même si l'Iran menace vendredi
de cesser "ses mesures volontaires de coopération". C’est dans ce contexte international
bien sulfureux qu’Angela Merkel a entamé sa première visite aux Etats-Unis en tant
que chancelière allemande. A Berlin, Nathalie Versieux