(RV-mardi 10 janvier 2006) En Haïti, un mot d’ordre de grève générale a circulé lundi.
La population manifeste contre l’insécurité galopante et le désordre électoral.
Le scrutin présidentiel et parlementaire était prévu dimanche mais il a encore été
reporté. L’ONU est montrée du doigt pour son inertie. Marie-Laurence Jocelyn-Lasègue,
de l’association Fem’yo la !, un collectif pour l’implication des femmes dans la vie
politique haïtienne témoigne de la situation.