(RV - jeudi 15 septembre 2005) L'Irak a connu l’une de ses journées les plus sanglantes.
Huit attentats suicide ont frappé Bagdad, la capitale. Bilan : près de 150 morts et
des centaines de blessés. Attaques revendiquées par Al Qaida. Le processus politique
et les efforts pour former des forces de l’ordre ne suffisent pas à enrayer la violence
quotidienne. Caroline Pailhe, chercheuse au GRIP à Bruxelles