(RV-mercredi 25 juin 2005)- Les larmes de joie des Mères de la place de Mai à Buenos
Aires. La Cour suprême a abrogé mardi soir les lois d'amnistie qui avaient bénéficié
aux militaires coupables d'atteintes aux droits de l'homme sous la dictature. Cette
décision va permettre la réouverture de dizaines de procédures. Les familles des victimes
et des desasparecidos saluent une décision historique. Marine de la Moissonière
est à Buenos Aires.