Le Khirgizstan entre révolution de velours et guerre civile
Le ton monte au Kirghizstan. Les manifestants se sont retrouvés ce matin dans la capitale
et se disent déterminés à rejoindre le centre ville. Le pouvoir du président Askaiev
est plus que jamais assiégé. Hier, des blocs de béton ont été installés sur l’unique
route qui relie la capitale et le sud du pays, en partie aux mains de l’opposition.
Par ailleurs, le choix du nouveau ministre de l’intérieur fait craindre une issue
violente.
Des précisions avec Régis Genté.