Les responsables locaux des différentes religions sont mobilisés dans toute l'Asie
du Sud Est. Selon l’évêque catholique de Batticaola interrogé par l’agence Misna,
une vingtaine de villages ont été rayés de la carte, 50 000 familles ont tout perdu,
mais le gouvernement central n’a rien envoyé. A cause de la désorganisation et de
la guérilla séparatiste des Tigres tamoul, les populations ne peuvent compter que
sur les villageois voisins ou sur les ONG. Ecoutons le mufti de Marseille, Sohib
Ben Cheirr