L'après-guerre critiqué par Hillary Clinton...
et le Pentagone

Après Georges Bush, c’est Hillary Clinton qui est arrivée hier à Bagdad pour soutenir le moral des forces américaines. L'ancienne première dame des Etats-Unis a exhorté l'administration Bush à modifier sa stratégie de reconstruction pour permettre à l'Onu de jouer un plus grand rôle dans l'Irak d'après-guerre. Un après-guerre mal géré admet le Pentagone dans un rapport interne où l’armée américaine fait son autocritique, plus de 6 mois après la fin de la guerre.

Correspondance de Bagdad, Nicolas Hénin

La coalition a formellement démenti hier toute implication dans la mort de deux sœurs irakiennes de 12 et 15 ans près de la ville de Baaqouba.